Il était une fois…les écureuils et moi

Vous connaissez les écureuils, ces charmantes petites boules de poils, un brin espiègles et pas du tout docile ? Après l’avoir caché pendant de longues années, je vous avoue aujourd’hui mon admiration totale devant ces petits êtres trop-mignon-à-croquer !

Dès que je vois des écureuils, je ne peux pas m’empêcher de les photographier sous toutes les coutures et il faut dire qu’ils se prêtent bien au jeu les petits malins (des fois qu’un petit morceau de quelque chose tomberait de ma poche 🙂 ). Julien pense même que cette manie de les photographie frise avec un petit TOC. Je cite « sur 2000 photos de la Californie, tu as bien du en prendre 1000 d’écureuils ! ». 1000 quand même pas mais une centaine peut-être. Je n’y peux rien aussi si la Californie (et l’Amérique du Nord dans son ensemble) est le lieu idéal pour croiser la route de ce petit animal.

A chaque point de vue, à peine sortis de la voiture, une armée de petits squirells débarquent. En être évolué qu’il est, l’écureuil a très bien compris que touriste = pique-nique = à manger. Bien qu’il soit interdit de nourrir la faune sauvage, il existe toujours des touristes peu respectueux pour leur donner à manger. Les parc nationaux américains ont du mettre en place des campagnes de sensibilisation des visiteurs car les écureuils étaient devenus obèses à cause des friandises des humains. Si vous êtes, vous aussi, un fan inconditionnel des écureuils (et de la faune sauvage en général), prenez uniquement des photos, vous leur rendrez service !

Après ce discours engagé pour la faune sauvage (ça m’agace toujours de voir le peu de considération de certains pour les animaux), je reviens à ma déclaration d’amour à Tic et Tac. Et oui, car j’ai eu la chance de croiser en vrai les tamias dans le Joshua Tree Park. Un moment génial d’observation au levé du soleil sur notre emplacement de camping. Après avoir vu les écureuils du Mont Royal à Montréal, ceux du Saint-James Park à Londres, ceux de nos forêts françaises et ceux de Californie, je craque complètement pour le discret et fragile tamia.

Et pour ceux qui ne serait pas encore convaincu que l’écureuil est un animal trop-mignon-à-croquer, voici quelques photos prises en voyageant :